Jacqueline Ribeli, Présidente
Avec mon mari Christian, je me suis rendue à Madagascar pour la première fois en été 2015. Depuis, les habitants de cette immense île sont devenus très chers à mon cœur. Après ma formation de diététicienne, j’ai fait la connaissance de Nicole qui m’a donné l’opportunité de faire un stage bénévole avec AiNA soa en 2018. J’ai été impressionnée de voir combien d’énergie et d’amour les membres de l’équipe mettent dans leur travail afin de transmettre leurs connaissances concernant les premiers secours et d’autres questions de santé à leurs concitoyen.ne.s. Je suis très heureuse, de pouvoir continuer à m’engager auprès de AiNA soa.
En automne 2019, avec l’aide de l’équipe AiNA soa, j’ai pu rassembler des données pour mon mémoire de master dans la région de Vakinankaratra. Ce fut une belle expérience très passionnante pour moi ainsi que pour toutes les personnes impliquées.
Stephan Kloter, Finances
En tant que personnes privilégiée en Suisse, avec de grandes opportunités de formation, un système de santé qui fonctionne et nos moyens financiers, nous avons la responsabilité d’aider d’autres personnes dans des situations moins privilégiées.
Chez AiNA soa, je suis enchanté qu’en plus de l’aide directe, l’accent est mis sur l’habilitation de la population locale. L’objectif est que la population locale apprenne à faire les choses elle-même et sans l’aide de la Suisse. Cela donne aux personnes la confiance en eux-mêmes et la dignité et évite des dépendances peu saines.
Nicole Imboden, Fondatrice
Les débuts de AiNA soa font partie de mon histoire personnelle. Je le savais depuis un bout de temps : Si je ne réalise pas ce projet, je le regretterai profondément. Forte de mon expérience en tant qu’infirmière en urgences, j’ai travaillé dans différents pays d’Afrique et j’ai obtenu mon diplôme de haute école en travail social. Ces expériences m’ont permis de lancer ce projet et j’ai fondé l’association AiNa soa.
Les années de développement à Madagascar ont été instructives, productives, stimulantes et m’ont permis de me rapprocher du pays et de ses habitants. De retour en Suisse, je me concentre sur l’encadrement de l’équipe malgache et la gestion du travail de l’association.
La vision de ce que devrait devenir AiNA soa a déjà pris forme. Les Malgaches sont responsabilisés et continuent à développer leur pays. Actuellement, ils sont le moteur du changement que nous aimerions obtenir. Aujourd’hui, AiNA soa n’est plus seulement mon histoire personnelle, mais celle de nombreuses personnes, car elles font partie de ce précieux travail. Je les remercie tous très sincèrement.
Cependant, il y en a Un qui a donné du courage, a rassemblé les gens, a montré des solutions et a ouvert des portes – sans Lui, je suis convaincu qu’AiNA soa serait resté un rêve. Nihil sin Deo – rien sans Dieu – AiNA soa en est un témoignage.
Evelyn Hoene, Actuaire
Je suis mariée à l’homme de mes rêves et maman de trois merveilleux enfants. J’aime la communauté et recevoir des invités et j’adore lire des livres. Sur le plan professionnel, je travaille comme infirmière à temps partiel.
AiNA soa m’inspire, car je vois que l’aide offerte atteint directement la population de Madagascar. Il est impressionnant de voir que le projet pilote de Samaritana a concrètement permis à sauver des vies.
Rosmarie Junker, Auditrice
Je suis mariée et maman de trois fils adultes. Je travaille comme infirmière dans un hôpital de Berne.
En 2014, pendant un congé sabbatique de 4 semaines, j’ai voyagé à Madagascar et j’ai pu personnellement faire connaissance avec AiNA soa.
Le travail précieux accompli jusqu’à présent ainsi que l’engagement de Nicole et du personnel malgache m’ont beaucoup impressionnée. Je suis convaincue qu’il est important et nécessaire de transmettre les connaissances en matière de premiers secours.
Je suis heureuse de pouvoir travailler au sein du conseil d’administration de cette organisation.
Anke Schmocker, Conseillère sociale
Depuis l’automne 2003, je suis mariée avec Heinz. Nous avons accueilli plusieurs enfants et une jeune maman avec un enfant au sein de notre famille pendant plusieurs années. En même temps, j’avais travaillé en tant que collaboratrice pastoral, je travaille actuellement comme conseillère sociale dans une entreprise sociale.
Je soutiens AiNA soa parce que, grâce à leur travail, l’aide commence chez les gens à la base. Aider les gens à s’aider eux-mêmes est efficace et représente une perspective à long terme. Ce qui est évident de savoir concernant les soins de santé dans notre culture est malheureusement (encore) l’exception à Madagascar. C’est pourquoi il est important de transmettre ces « connaissances de base » de manière simple, compréhensible et pratique.